Aujourd’hui, il existe de nombreuses façons d’investir dans ce domaine. Cependant, il faut d’abord connaître les différentes opportunités, avantages et inconvénients de chaque placement. Découvrez cela en quelques lignes.
Investissement pour la défiscalisation
Ceux de la loi Pinel et de Malraux sont les plus connus. La méthode Pinel est un investissement en immobilier consistant à l’achat d’un neuf pour la mettre en location. Ce qui permet une défiscalisation.
Ce système peut fonctionner de 6 à 12 ans d’investissement. Comme exemple, en investissant 200 000 euros, il est possible d’économiser jusqu’à 4 000 euros par an. Votre zone géographique doit appliquer la loi Pinel pour en profiter.
Néanmoins, la durée de réalisation ne doit pas dépasser les 30 mois. De plus, le bilan énergétique doit respecter les normes.
Par ailleurs, la loi Malraux favorise des déductions fiscales suivant le montant des travaux de restauration réalisés. La variation du montant dépendra du secteur d’implantation. C’est soit 30 % des travaux qui sont déductibles ou 22 % s’il s’agit d’une zone de conservation patrimoniale.
Investissement passant par les SCPI
Les SCPI sont des sociétés de placement collectif regroupant des personnes physiques et morales pour investir dans un parc immobilier. Vous serez donc en possession d’une partie de l’ensemble du bien.
L’avantage de ce système est d’investir selon son budget. Un inconvénient réside dans l’incapacité de choisir la propriété dans laquelle investir. De plus, les frais d’adhésion et de sortie peuvent réduire considérablement vos rendements. Toutefois, il est possible de répartir votre investissement pour limiter les risques.
L’investissement dans l’immobilier est assez rentable, il faut juste bien se renseigner sur le type de placement avant d’investir.